Category Archives: Le diabète

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LES BENEFICES DE LA VITAMINE C

Category : Le diabète , Médecine , Santé

Par Philippe Riviere

Cell’innov Labs
« Un médecin américain lâche une bombe en plein congrès à Paris ! 
Cette bombe, c’est le célèbre Docteur américain Thomas Levy qui l’a lâchée.  
Cela s’est passé lors du Congrès International de Santé Naturelle organisé par l’association IPSN.
Le Docteur Levy est l’un des plus grands spécialistes de la vitamine C.
Il est aussi l’un des rares scientifiques assez courageux pour parler librement en dépit des pressions et des menaces exercées sur lui par l’oligarchie du médicament.
Voici ce qu’il a dit devant une assemblée de plusieurs centaines de personnes qui, comme moi, sont sorties sidérées par la portée de ces nouvelles révélations :
• OUI ! La vitamine C est bel et bien l’un des traitements complémentaires les plus efficaces en cas de cancer. Il va plus loin encore : les médecins qui ne prescrivent pas de vitamine C à leurs patients souffrant de cancer « sont des lâches et des sans-cœur » !
• OUI ! La vitamine C est capable de sauver la vie de patients que la médecine conventionnelle condamne injustement : Alan Smith, un Néo-zélandais venu depuis l’autre bout de la planète pour témoigner lors du Congrès, a raconté comment la vitamine C l’a sauvé d’une infection mortelle alors que ses médecins l’avaient déjà condamné à mourir.
• OUI ! Il va falloir nous battre pour faire valoir notre droit à bénéficier de ces nouvelles découvertes ! La sombre raison est que votre médecin et surtout, le conglomérat pharmaceutique qui manigance en coulisses, feront tout pour vous empêcher de profiter des bienfaits incroyables de la vitamine C.
Pour le Docteur Levy, « la montagne de preuves scientifiques concernant la vitamine C » ne permet plus d’avoir le moindre doute sur ses pouvoirs extraordinaires.
Aujourd’hui, la bataille se situe au niveau politique et juridique.
C’est pourquoi il appelle chacun de nous à prendre conscience de la situation et à ne pas se laisser faire ».
Sincèrement,
A. Merzoug
Oblivion X Medical S.a.r.l.

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PATIENTS DIABETIQUES ET LA PSYCHOLOGIE

Category : Le diabète , Santé

LE PSYCHOLOGE ET LE PATIENT DIABETIQUE

Le diabète est une maladie grave. C’est aussi une maladie chronique. L’annonce de la maladie est une souffrance psychologique. Le danger du diabète vient de son déséquilibre, qui augmente avec la méconnaissance de cette maladie.

LES OBJECTIFS;

Comprendre la façon dont le patient vit l’annonce de la maladie :

–     Etre à l’écoute, se mettre du côté du patient,

–     Que sait-il , que veut-il savoir, que veut-il entendre, reformuler ses dires.

–     Ecrire les représentations qu’il a du diabète et des traitements

–     Analyser et comprendre le soutien social et les rapports avec les soignants (médecins, diététicien(ne)s, infirmier(e)s, podologues…).

LES AXES DE PRISE EN CHARGE;

Le rôle du psychologue dans la prise en charge du patient diabétique comporte 4 axes :

• Accompagnement dans l’annonce de la maladie : comprendre comment le message est émis et comment il est reçu. L’annonce est un moment clé qui déterminera souvent le vécu ultérieur de la maladie. Pour le malade, l’effet de l’annonce est souvent comparé à un traumatisme avec ses différentes étapes de résolution (sidération, révolte, déni, marchandage, retour sur soi, acceptation et adaptation). Pour le médecin, cette annonce peut le confronter à sa propre relation avec le malade et à la maladie et perturber le projet thérapeutique.

• Accompagnement en cas de dépistage d’un terrain anxieux et/ou dépressif : après un dépistage systématique en début de prise en charge à l’aide de la grille HAD intégrée au référentiel.

• Accompagner le plus tôt possible le patient permettra de diminuer un impact d’éventuels troubles dans le suivi de la maladie. Accompagnement dans le cas d’apparition de complications liées à la maladie : aider le patient à faire face aux changements d’existence que peuvent occasionner des troubles de la sexualité, une insuffisance rénale, une amputation, une atteinte de la vue…

• Accompagnement en cas de troubles psychologiques avérés : prendre en compte la dimension pathologique de certains troubles compulsifs de type boulimie-anorexie, la dimension psycho-dynamique de l’obésité, c’est améliorer de toute évidence la prise en charge de la maladie.

Cordialement,

A. Merzoug

Oblivion X Medical


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L’ impuissance sexuelle chez les diabétiques

Category : Le diabète , Santé

« Saviez-vous que les diabétiques souffrent de problèmes d’érection entre 10 et 15 ans avant les personnes non diabétiques ?

Cela arrive parce que si le diabète n’est pas contrôlé de façon correcte, les vaisseaux sanguins, les artères et les veines peuvent s’endommager, et engendrer une dysfonction masculine par des facteurs physiques.

Heureusement, vous prenez les mesures nécessaires pour contrôler et faire disparaitre le diabète.

Notre culture est très machiste, et « l’on” attend toujours une réponse virile « en accord aux circonstances ».

Les problèmes d’érection sont un cercle vicieux, car au moment où l’on doute de jouer un bon rôle, l’anxiété va à l’encontre, alimente la peur et donne un rendement pauvre, et le couple est sexuellement pas satisfait.

Vous ne devez pas vous préoccuper, dans l’actualité, en prenant les soins nécessaires, les couples peuvent maintenir l’activité sexuelle pratiquement toute la vie.

Traitements pour la dysfonction des diabétiques :

–> Médicaments oraux :

ils sont commodes et pas très chers. Entre eux, la fameuse pastille bleue. Certains durent jusqu’à 12 heures, et d’autres jusqu’à 36.

Chez les patients non diabétiques ils ont une efficacité de 80%, mais chez les diabétiques l’efficacité arrive seulement à un 50%. Cela parce que les diabétiques répondent avec plus de difficultés aux traitements oraux, ils ont besoin d’une dose plus grande, et essayer différents médicaments ou traitements.

Il faut prendre en compte les préjudices associés à ces médicaments, par les on-dits d’attaques au cœur ou problèmes d’hypertension, entre autres.

Il est important que le patient consulte un spécialiste, pour être bien au courant de ces thérapies, pour éviter les peurs et les anxiétés qui peuvent jouer contre soi-même. Cette thérapie a besoin de stimulation du couple.

S’il n’y a pas de réponse satisfaisante au traitement oral, il est suggéré l’emploi d’une pompe à vide, c’est un tube de plastique connecté à une petite pompe à vide dans son intérieur, ce qui permet l’irrigation du pénis, avec un anneau à la base pour maintenir l’érection.

–> Thérapies non orales :

1 – Piqûres dans le pénis. Cela produit une action directe dans la musculature lisse, avec de bons résultats et sans période d’ennuis. C’est un système assez complexe. On utilise des médicaments comme le alprostadil qui agit rapidement et n’a pas besoin de stimulation du couple.

On peut faire une piqûre avec des médicaments mélangés, comme sont les médicaments intra caverneux ou vaisseau actif. Ce doit être fait par un administratif.

2 – On peut avoir recours à une chirurgie pour poser une prothèse sur le pé.nis, qui offre la rigidité nécessaire pour permettre une relation se.xuelle satisfaisante. Ce système a les complications et les risques d’une chirurgie.

J’espère que cette information vous sera utile et que vous pourrez la partager avec ceux qui s’y intéresseront.

Pour une bonne santé !

Cordialement,

A. Merzoug

Oblivion X Medical S.a.r.l.


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ÎLOTS ET THÉRAPIES CELLULAIRES

Category : Le diabète , Médecine , Santé

Cette thématique est intégrée à l’Université de Strasbourg et labélisée en qualité d’Unité Mixte de Recherche EA 7294 DIATHEC (DIAbète de THErapie Cellulaire). + d’infos

La transplantation d’îlots pancréatiques libres

La transplantation d’îlots pancréatiques est une alternative thérapeutique aux injections pluriquotidiennes d’insuline (insulinothérapie) : unique traitement actuel du diabète de type 1, très contraignant pour le patient. Cette technique consiste à isoler et à greffer des îlots purifiés au niveau du foie de patients diabétiques de type 1.

Cette innovation thérapeutique a pour but de guérir du diabète de type 1. Cette thérapeutique ne s’applique que dans les cas extrêmes de patients très instables avec des hypoglycémies sévères et pour lesquels l’insulinothérapie n’est plus suffisamment efficace.

Comment fonctionnent l’isolement et la greffe d’îlots pancréatiques ?

Des études nord américaines et européennes ont montré la faisabilité et l’efficacité de cette approche thérapeutique. Une telle greffe est en effet à l’origine de la restauration d’une production d’insuline par l’organisme des patients diabétiques.

98% des patients redeviennent insulino-indépendants immédiatement après greffe. Cependant, seulement 10% de ces patients restent insulino-indépendants cinq ans après transplantation.

Principe de la transplantation des îlots

La greffe d’îlots permet ainsi de stabiliser le diabète et de limiter les hypoglycémies sévères. Cependant, pouvoir arrêter complètement et durablement tout traitement par insuline grâce à cette stratégie thérapeutique n’est pas encore possible. La technique de transplantation d’îlots s’avère inefficace sur le long terme car il subsiste encore certains facteurs qui s’opposent à sa réussite et qui concourent à une perte de fonction des îlots transplantés.

Les limites majeures de cette approche sont liées :

• aux faibles rendements à l’issue de l’isolement ;

• aux pertes importantes durant la culture dues au manque d’oxygène et de structure 3D ;

• à l’absence de vaisseaux sanguins dans les îlots pancréatiques greffés ;

• aux réactions inflammatoires qui ont lieu au moment de la transplantation ;

• à la méconnaissance de l’influence du foie (site où sont transplantés les îlots) sur le greffon ;

• à la méconnaissance du rôle du stress oxydant généré par l’environnement diabétique du receveur dans la perte des îlots au cours de la transplantation.

Optimisation de la transplantation d’îlots pancréatiques

Les projets de recherche du CeeD s’articulent autour de trois étapes d’une greffe :

Pré-implantatoire, procédure d’isolement d’îlots pancréatiques + d’infos

Post-implantatoire, problématiques de la transplantation + d’infos

• Site receveur, les îlots face à une multitude d’agression + d’infos

Stress et diabète de type 1

Face à la nécessité d’optimiser les insulinothérapies, nous nous intéressons à l’impact de celles-ci sur le statut oxydant du patient diabétique de type 1. Le stress oxydant joue effectivement un rôle primordial dans ce diabète et ses complications.

Notre stratégie

La meilleure compréhension du rôle du stress oxydant, ainsi que de l’impact des différentes insulinothérapies sur le statut oxydant, nous orientent vers une nouvelle voie d’étude :

allier antioxydant et insulinothérapie…

Greffe d’îlots de Langerhans, une nouvelle source d’insuline?

Parmi les progrès attendus dans le traitement du diabète, la thérapie cellulaire, basée sur l’introduction des cellules bêta dans l’organisme, semble être l’une des voies les plus prometteuses bien qu’elle présente encore quelques limites d’ordre technique.

Pour traiter le diabète, l’une des principales préoccupations des chercheurs est de réussir à fournir à l’organisme des cellules bêta fonctionnelles afin d’assurer la production de l’insuline. Plusieurs options sont actuellement étudiées par les chercheurs pour atteindre cet objectif.

Greffe de cellules bêta fonctionnelles

La première consiste à greffer à proximité d’une voie sanguine des cellules d’îlots de Langerhans (qui contiennent entre autre des cellules bêta) productrices d’insuline, pour libérer de l’insuline dans le sang. Les îlots de Langerhans sont préparés au laboratoire à partir du pancréas d’un donneur. Ils sont injectés à plusieurs reprises au patient sur une durée courte.

• Cette thérapie s’adresse à des personnes chez qui le diabète est installé depuis plusieurs années et n’est plus équilibré par l’insulinothérapie. Les cellules sont injectées dans la veine menant au foie. Elles s’y greffent et se mettent à produire de l’insuline.

Plusieurs patients ainsi traités ont pu totalement interrompre leur traitement par insuline grâce au contrôle de leur glycémie par ces cellules bêta fonctionnelles. Le suivi de ces patients a montré que la fonction de ces cellules restait stable dans le temps (au moins 3 ans) avec le maintien d’un équilibre glycémique satisfaisant.

Cependant, l’inconvénient de cette technique est dû à la nécessité d’un traitement immunosuppresseur lourd pour éviter le rejet de greffe et une surveillance régulière.

• Des essais sont toujours en cours pour améliorer les techniques d’isolement des îlots, de greffe et des traitements associés. Des nouveaux sites d’injections comme les muscles de l’avant-bras sont également en test.

Greffe des cellules précurseurs des cellules bêta pancréatiques

Actuellement en cours d’étude, cette deuxième option thérapeutique consisterait à greffer chez les patients diabétiques des cellules progénitrices des cellules bêta, c’est-à-dire des cellules qui après transformation, selon des conditions précises et strictes, vont donner naissance à des cellules bêta matures et productrices d’insuline. Les recherches s’orientent également vers la production des cellules bêta à partir de cellules souches adultes.

• Ces recherches sont au stade d’expérimentation animale et peuvent servir de modèles d’études pour mieux comprendre le dysfonctionnement des cellules bêta et pour tester de nouvelles molécules thérapeutiques.  »

Source : Inserm – Sciences et Santé – N°12- Janvier-Février 2013

Les informations et outils mis à votre disposition, le sont à titre informatif. Ils ne se substituent en aucun cas aux recommandations de votre professionnel de santé. 

Bonne lecture

Cordialement,

A. Merzoug

Oblivion X medical S.a.r.l.


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Nouveaux traitements – peut être

« Des chercheurs ont élaboré un tout nouveau traitement qui soigne le diabète sans effets secondaires

L’épidémie de diabète est l’un des grands défis sanitaires mondiaux. Alors que le nombre de malades pourrait exploser dans les prochaines décennies, une équipe de scientifiques américains serait sur le point de mettre en place une thérapie révolutionnaire.

UNE ÉPIDÉMIE ANNONCÉE

Le diabète est une maladie connue de longue date. On en trouve des mentions dès l’antiquité égyptienne. Mais aujourd’hui, il s’agit d’un mal en pleine expansion. Son incidence serait en grande partie liée à l’évolution de nos modes de vie (sédentarité, urbanisation, alimentation…). Ainsi, les États-Unis et l’Europe sont aujourd’hui les régions les plus touchées. Mais l’épidémie se répand comme une traînée de poudre dans les pays émergent comme la Chine. D’après les calculs de l’OMS, 300 millions de personnes seront touchées en 2030, soit 6 % de la population adulte. En 1985, on ne recensait que 30 millions de cas !

Le diabète sucré est une maladie liée à la défaillance des mécanismes biologiques permettant la régulation du sucre dans le sang. Notre pancréas sécrète une hormone, l’insuline, nécessaire pour faire baisser le taux de glucose dans le sang. Les personnes atteintes de diabète de type 1 ne produisent pas d’insuline et doivent donc s’en injecter jusqu’à plusieurs fois par jour. Dans sa forme plus légère de type 2, version la plus répandue qui touche 90 % des malades, l’insuline n’est pas correctement utilisée par les cellules du corps et son rôle amoindri.

UNE THÉRAPIE NOVATRICE

L’insuline est produite par des cellules particulières du pancréas, les cellules Beta. Dans le diabète de type 1, celles-ci sont détruites par le système immunitaire. Dans le diabète de type 2, elles ne sont pas assez fonctionnelles. Remédier à ces défaillances a donc été l’angle d’attaque privilégié par les chercheurs du University Texas Health Science Center. D’après eux, leurs expérimentations sur des souris auraient d’ores et déjà donné des résultats stupéfiants : » nous avons soigné des souris pendant un an sans aucun effet secondaire « , explique le Dr Moiron.

Leur méthode relève de la thérapie génique. Ils ont introduit, par le biais d’un virus, des gènes sélectionnés dans le pancréas des souris. Comme l’explique le co-inventeur de cette technique, le Dr Ralph DeFronzo, » le pancréas contient de nombreuses autres cellules, et notre approche consiste à les modifier pour qu’elles sécrètent de l’insuline en réponse au sucre « . Elles se mettent donc à imiter les cellules bêta problématiques. Grâce à cette méthode, le diabète de type 1, de loin le plus grave, pourrait être vaincu. En outre, les symptômes du diabète ne débutent que lorsque 80 % des cellules bêta sont éliminées. Ainsi, un taux de récupération de l’ordre de 20 % devrait être suffisant pour être efficace. En outre, cette méthode a un avantage évident sur les thérapies actuelles. Lors des injections d’insulines, le dosage doit être millimétré. Il sera désormais automatiquement bon.  »

Bonne lecture

Cordialement,

A. Merzoug

Oblivion X Medical S.a.r.l.


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