Category Archives: Médecine

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Nouveaux traitements – peut être

« Des chercheurs ont élaboré un tout nouveau traitement qui soigne le diabète sans effets secondaires

L’épidémie de diabète est l’un des grands défis sanitaires mondiaux. Alors que le nombre de malades pourrait exploser dans les prochaines décennies, une équipe de scientifiques américains serait sur le point de mettre en place une thérapie révolutionnaire.

UNE ÉPIDÉMIE ANNONCÉE

Le diabète est une maladie connue de longue date. On en trouve des mentions dès l’antiquité égyptienne. Mais aujourd’hui, il s’agit d’un mal en pleine expansion. Son incidence serait en grande partie liée à l’évolution de nos modes de vie (sédentarité, urbanisation, alimentation…). Ainsi, les États-Unis et l’Europe sont aujourd’hui les régions les plus touchées. Mais l’épidémie se répand comme une traînée de poudre dans les pays émergent comme la Chine. D’après les calculs de l’OMS, 300 millions de personnes seront touchées en 2030, soit 6 % de la population adulte. En 1985, on ne recensait que 30 millions de cas !

Le diabète sucré est une maladie liée à la défaillance des mécanismes biologiques permettant la régulation du sucre dans le sang. Notre pancréas sécrète une hormone, l’insuline, nécessaire pour faire baisser le taux de glucose dans le sang. Les personnes atteintes de diabète de type 1 ne produisent pas d’insuline et doivent donc s’en injecter jusqu’à plusieurs fois par jour. Dans sa forme plus légère de type 2, version la plus répandue qui touche 90 % des malades, l’insuline n’est pas correctement utilisée par les cellules du corps et son rôle amoindri.

UNE THÉRAPIE NOVATRICE

L’insuline est produite par des cellules particulières du pancréas, les cellules Beta. Dans le diabète de type 1, celles-ci sont détruites par le système immunitaire. Dans le diabète de type 2, elles ne sont pas assez fonctionnelles. Remédier à ces défaillances a donc été l’angle d’attaque privilégié par les chercheurs du University Texas Health Science Center. D’après eux, leurs expérimentations sur des souris auraient d’ores et déjà donné des résultats stupéfiants : » nous avons soigné des souris pendant un an sans aucun effet secondaire « , explique le Dr Moiron.

Leur méthode relève de la thérapie génique. Ils ont introduit, par le biais d’un virus, des gènes sélectionnés dans le pancréas des souris. Comme l’explique le co-inventeur de cette technique, le Dr Ralph DeFronzo, » le pancréas contient de nombreuses autres cellules, et notre approche consiste à les modifier pour qu’elles sécrètent de l’insuline en réponse au sucre « . Elles se mettent donc à imiter les cellules bêta problématiques. Grâce à cette méthode, le diabète de type 1, de loin le plus grave, pourrait être vaincu. En outre, les symptômes du diabète ne débutent que lorsque 80 % des cellules bêta sont éliminées. Ainsi, un taux de récupération de l’ordre de 20 % devrait être suffisant pour être efficace. En outre, cette méthode a un avantage évident sur les thérapies actuelles. Lors des injections d’insulines, le dosage doit être millimétré. Il sera désormais automatiquement bon.  »

Bonne lecture

Cordialement,

A. Merzoug

Oblivion X Medical S.a.r.l.


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Cancer blood test

Category : Médecine , Santé

« Cancer blood test ‘enormously exciting’

By James Gallagher

Health and science correspondent, BBC News

http://www.bbc.co.uk/news/health-42736764

 

LES SCIENTIFIQUES ONT FAIT UN PAS VERS L’UN DES PLUS GRANDS OBJECTIFS EN MEDECINE – UN TEST SANGUIN UNIVERSEL POUR LE CANCER.

Une équipe de l’Université Johns Hopkins a testé une méthode qui détecte huit formes courantes de la maladie.

Leur vision est un test annuel conçu pour attraper le cancer tôt et sauver des vies. Les experts britanniques ont déclaré que c’était « extrêmement excitant ».

Cependant, l’un d’entre eux a déclaré que davantage de travail était nécessaire pour évaluer l’efficacité du test de dépistage des cancers à un stade précoce.

Les tumeurs libèrent de minuscules traces de leur ADN et de leurs protéines mutées dans la circulation sanguine.

Un test sanguin «excitant» révèle un cancer au début de l’année

Les tests sanguins détectent le cancer de l’ovaire tôt

Le test sanguin de cancer de la prostate «aide à cibler le traitement»

Le test CancerSEEK recherche des mutations dans 16 gènes qui apparaissent régulièrement dans le cancer et dans huit protéines souvent libérées.

Il a été testé sur 1 005 patients atteints de cancers de l’ovaire, du foie, de l’estomac, du pancréas, de l’œsophage, du côlon, du poumon ou du sein qui ne s’étaient pas encore propagés à d’autres tissus.

Globalement, le test a trouvé 70% des cancers.

Le Dr Cristian Tomasetti, de l’école de médecine de l’Université Johns Hopkins, a déclaré à la BBC: « Ce domaine de détection précoce est essentiel ».

« Je pense que cela peut avoir un impact énorme sur la mortalité par cancer. »

Plus un cancer est détecté tôt, plus grandes sont les chances de pouvoir le traiter.

Cinq des huit cancers étudiés n’ont pas de programme de dépistage pour la détection précoce.

Le cancer du pancréas a si peu de symptômes et est détecté si tard que quatre patients sur cinq meurent l’année où ils sont diagnostiqués.

Trouver des tumeurs quand elles pourraient encore être enlevées chirurgicalement serait « une différence entre le jour et nuit » pour la survie, a déclaré le Dr Tomasetti.

CancerSEEK est maintenant testé chez les personnes qui n’ont pas été diagnostiquées avec un cancer.

Ce sera le véritable test de son efficacité.

L’espoir est qu’il peut compléter d’autres outils de dépistage tels que les mammographies pour le cancer du sein et les coloscopies pour le cancer colorectal.

Dr Tomasetti a déclaré à la BBC: « Nous envisageons un test sanguin que nous pourrions utiliser une fois par an. »

Test universel?

Le test CancerSEEK, rapporté dans la revue Science, est nouveau car il recherche à la fois l’ADN muté et les protéines.

Le cancer du sein peut être détecté par le nouveau test

L’augmentation du nombre de mutations et de protéines analysées permettrait de tester un plus grand nombre de cancers.

Le Dr Gert Attard, chef d’équipe du Centre pour l’évolution et le cancer de l’Institute of Cancer Research de Londres et consultant en oncologie médicale au Royal Marsden NHS Foundation Trust, a déclaré à la BBC: « Ce potentiel est énorme ».

« Je suis énormément excité, c’est le Saint Graal – un test sanguin pour diagnostiquer le cancer sans toutes les autres procédures comme les scintigraphies ou la coloscopie. »

Il a dit « nous sommes très proches » d’utiliser des tests sanguins pour dépister le cancer car « nous avons la technologie ».

Mais il a averti qu’il y avait toujours une incertitude quant à ce qu’il faut faire lorsqu’un cancer a été diagnostiqué.

Dans certains cas, le traitement peut être pire que de vivre avec un cancer qui ne met pas immédiatement la vie en danger.

Les hommes peuvent déjà avoir des cancers de la prostate à croissance lente étroitement surveillés plutôt que traités.

« Lorsque nous détectons le cancer d’une manière différente, nous ne pouvons pas tenir pour acquis que tout le monde aura besoin d’un traitement », a déclaré le Dr Attard.

Paul Pharoah, professeur d’épidémiologie du cancer à l’Université de Cambridge, a déclaré que davantage de travail était nécessaire pour évaluer la performance du test lorsque les cancers sont moins avancés.

Il a déclaré: « Démontrer qu’un test peut détecter des cancers avancés ne signifie pas que le test sera utile pour détecter un cancer symptomatique à un stade précoce, et encore moins un cancer pré-symptomatique. La sensibilité pour les cancers de stade 1 était de 40% seulement.  »

Le coût de CancerSEEK est inférieur à 500 $ (360 £) par patient, ce qui est à peu près le même prix qu’une colonoscopie. »


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« L’allaitement pourrait réduire le risque de diabète chez la mère »

Category : Le diabète , Médecine , Santé

ARTICLE DU FIGARO

« Cécile Thibert remarque dans Le Figaro que « l’allaitement est bénéfique pour la santé des nouveau-nés, tant à court terme qu’à long terme. Mais nourrir son enfant au sein pourrait également présenter des avantages pour la mère. C’est en tout cas ce qu’affirme une étude récemment publiée dans le Journal of the American Medical Association ».

La journaliste indique que « selon les auteurs, des chercheurs de plusieurs universités américaines, l’allaitement aurait un effet protecteur contre le diabète de type 2. Des résultats à considérer avec précaution car le diabète est une maladie multifactorielle complexe », souligne-t-elle.

Cécile Thibert explique ainsi que « pendant 30 ans, les scientifiques ont suivi 1200 femmes américaines ayant eu au moins un enfant. Aucune d’entre elles n’était diabétique au début de l’étude. Au cours de cette période, 182 participantes ont développé un diabète de type 2. La majorité (139) a allaité moins de 6 mois ou n’a pas allaité du tout, et 43 ont donné le sein 6 mois ou plus après leur accouchement ».

La journaliste observe que « les femmes appartenant à cette seconde catégorie ont 47% de risque en moins de développer un diabète de type 2 par rapport à celles qui ont allaité sur une période plus courte ou qui n’ont pas allaité du tout ».

Cécile Thibert ajoute que « pour s’assurer que des éléments n’influaient pas sur ce lien entre allaitement et diabète, les scientifiques ont recueilli diverses informations sur les participantes : la présence d’un diabète gestationnel (facteur de risque de diabète de type 2), leur niveau d’activité physique, leurs antécédents médicaux, d’éventuels antécédents familiaux de diabète ou encore leur régime alimentaire ».

« Et ils ont effectivement constaté que, au-delà du fait d’avoir allaité ou non, d’importantes différences existaient entre les participantes », relève la journaliste.

Les auteurs écrivent ainsi qu’« au début de l’étude, les femmes qui ont plus tard développé un diabète étaient plus souvent noires (…), avec un indice de masse corporelle, un tour de taille, une glycémie et un taux de triglycérides à jeun plus importants, […] une moins bonne alimentation et une pratique d’activité physique moins intense » que les autres.

Cécile Thibert note que les chercheurs « ont également remarqué que les femmes qui n’ont pas allaité avaient un niveau d’éducation plus faible, une mauvaise alimentation ou encore davantage de cas de diabète dans leur famille. Malgré la prise en compte de ces éléments via un outil statistique, les scientifiques estiment que l’effet protecteur contre le diabète conféré par l’allaitement reste significatif ».

La journaliste remarque toutefois que « l’étude présente des points forts : un suivi sur le long terme, la réalisation d’analyses de sang et un dépistage du diabète réalisé tous les 5 ans chez l’ensemble des participantes. Mais elle comporte également divers biais. Par exemple, le fait de collecter des données par la voie de questionnaires peut être source d’erreurs, d’autant plus lorsque ceux-ci interviennent longtemps après les événements ».

« Par ailleurs, le format de l’étude (étude de cohorte) ne permet pas d’affirmer avec certitude qu’un allaitement long protège contre le diabète car les résultats observés ne pourraient être dus qu’au hasard », continue Cécile Thibert.

Elle explique que « pour qu’un lien de causalité soit établi, il aurait fallu constituer deux groupes par tirage au sort : l’un constitué de femmes devant allaiter plus de 6 mois et l’autre de femmes ne devant pas allaiter. Cette solution permet en effet de constituer des groupes identiques, dont les résultats peuvent être comparés. Toutefois, ce type d’études n’aurait pas pu être réalisé ici pour des raisons éthiques évidentes ». »

Sincèrement,

A. Merzoug

Oblivion X Medical


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Fatigue, maladies, douleurs : vos intestins vous empêchent-ils de guérir ?

Category : Médecine , Santé

Par Philippe Rivière, Fondateur du laboratoire Cell’innov

« De plus en plus de scientifiques pensent en effet que la lutte contre la dysbiose est la clé pour vaincre pratiquement toutes les maladies.

Mais qu’est-ce que la dysbiose exactement ?  

Dans un rapport scientifique publié conjointement en 2014, les chercheurs du Collège de France, de l’Institut Pasteur et de l’INSERM la définissent de cette manière :

« La dysbiose se caractérise par l’altération soutenue de l’équilibre normal du microbiote intestinal » [1]. Cette altération est causée par l’accumulation de bactéries toxiques dans vos intestins.

Dans ce rapport, les chercheurs expliquent que la dysbiose est à l’origine de nombreuses maladies graves comme la maladie de Crohn, le diabète, la maladie cœliaque, le cancer du côlon, des allergies, l’autisme.

On soupçonne également que la dysbiose serait impliquée dans l’arthrose, l’hypertension, le psoriasis, les maladies de Parkinson et d’Alzheimer.

Comment la dysbiose peut-elle être impliquée dans toutes ces maladies ?

La raison est à la fois simple et terrifiante : les scientifiques ont en effet découvert que la dysbiose a le pouvoir de déclencher des dysfonctionnements graves au niveau de vos systèmes immunitaire, métabolique, nutritionnel et même génétique.

En clair, la dysbiose est comme une sorte de vermine qui crée le chaos et la mort dans toutes les cellules de votre corps !

Paradoxalement, ces découvertes inquiétantes suscitent des espoirs inouïs contre les maladies

La dysbiose s’est développée suite aux changements récents auxquels nous sommes malheureusement tous confrontés. Je veux parler de la pollution, des effets pervers de certains médicaments tels que les antibiotiques, du stress et de la prédominance de certains aliments transformés qui ont envahi nos assiettes.

Ces bouleversements de notre mode de vie se sont produits en quelques années à peine.

Cela explique pourquoi les médecins et des millions de personnes se retrouvent aujourd’hui totalement démunis face à ce nouveau fléau.

Chaque jour, de nouvelles découvertes remontent des quatre coins du monde concernant la dysbiose.

Des solutions existent pour lutter contre cette maladie et ses conséquences épouvantables sur notre santé. Ces solutions sont facilement accessibles et il n’y a donc aucune raison de vous en priver plus longtemps.

Comment savoir si vous êtes concerné par cette maladie insidieuse ?

La dysbiose est difficile à diagnostiquer car elle s’installe progressivement, sans que vous ne vous en rendiez compte. Certaines analyses médicales poussées peuvent vous aider à la dépister.

Toutefois, il existe plusieurs signes qui ne trompent pas et j’aimerais vous aider à les détecter vous-même en répondant simplement à ces questions pour vous-même :

Vous arrive-t-il de vous priver de tel ou tel aliment car vous avez peur que vos troubles digestifs n’empirent encore davantage ?

Vous sentez-vous fatigué sans savoir pourquoi ?

Votre teint est-il terne ou jauni ?

Avez-vous parfois l’impression de ne pas pouvoir résister à l’envie de manger sucré ?

Avez-vous remarqué qu’il vous était de plus en plus difficile de perdre du poids ?

Si vous avez répondu « oui » à une ou plusieurs de ces questions, il est malheureusement fort probable que, comme des millions d’autres personnes, vous souffriez de dysbiose sans le savoir.

Il est donc urgent d’agir avant que votre situation n’empire !

La plupart d’entre nous ne prêtons pas forcément une grande importance à ces petits tracas. On se dit que « cela va passer tout seul » ou que « avec l’âge, c’est normal ».

Pourtant, c’est une grave erreur et je vous invite à ne surtout pas la commettre car les conséquences peuvent rapidement dégénérer si vous ne faites rien. Dans de nombreux cas, ces symptômes sont les premiers signes de maladies plus graves : arthrose, diabète, obésité, cancers…

Ces signaux de détresse envoyés par votre corps sont là pour vous prévenir que quelque chose de grave est en train de se passer.

Votre corps est en train de pourrir de l’intérieur

Pardonnez-moi d’être aussi direct.

Cela peut vous paraître choquant et dégoûtant d’imaginer que votre corps est en train de pourrir de l’intérieur. Pourtant, ce n’est qu’une version édulcorée de ce que les scientifiques ont découvert sur la dysbiose.

Lorsque les bactéries toxiques s’installent dans vos intestins, elles se propagent à grande vitesse et s’attaquent aux bonnes bactéries présentes dans vos intestins et qui sont censées vous garder en bonne santé.

\Vous ne pouvez pas le voir car tout ceci se produit à une échelle microscopique.

Mais c’est une guerre implacable qui fait rage en ce moment-même dans les profondeurs de vos intestins :

Ce combat féroce entre les bonnes bactéries et les bactéries toxiques épuisent vos intestins qui deviennent poreux.

Un des premiers signes visibles est que ce chaos dans vos intestins vous empêche de perdre du poids [2].

Votre alimentation n’est plus digérée correctement car vos intestins n’arrivent plus à faire leur travail.

Votre corps stocke davantage de graisses et il ne sait plus correctement éliminer les toxines présentes dans l’alimentation.

Ces toxines alimentaires s’accumulent dans votre corps.

Les scientifiques parlent d’un phénomène de « putréfaction » qui transforme votre corps en un véritable dépotoir débordant de toxines pathogènes.

Ces micro-organismes pathogènes prolifèrent partout dans votre corps. Ils affaiblissent dangereusement vos défenses naturelles et votre risque de maladie augmente.

Bientôt les remparts de votre forteresse intérieure s’effondrent et vous laissent sans défense face aux maladies

Avez-vous déjà entendu cette célèbre phrase du médecin grec Hippocrate ?

« Selon toute vraisemblance, la source des maladies ne doit pas être ailleurs que dans les vents ou les pets selon qu’ils sont en excès ou en défaut, ou bien qu’ils entrent dans le corps trop nombreux ou souillés de miasmes morbifiques ».

Depuis, la science moderne a confirmé que le père de la médecine avait entièrement raison.

Vos intestins ne sont pas seulement le point central de votre digestion. Ils sont le point central de votre santé car 80% de votre système immunitaire est géré au niveau de vos intestins.

Si vos intestins sont attaqués par de mauvaises bactéries, votre système immunitaire est dangereusement affaibli et vous devenez plus vulnérable face aux maladies.

Si vous mangez beaucoup d’aliments transformés, par exemple, vos bactéries intestinales seront compromises parce que ces aliments vont, pour la plupart, détruire la microflore saine et nourrir les mauvaises bactéries et les levures.

Vos bactéries intestinales sont également très sensibles aux antibiotiques, à l’eau chlorée, aux savons antibactériens, aux produits chimiques agricoles et de manière générale à toutes les formes de pollution.

L’autre conséquence de la dysbiose se situe au niveau de votre cerveau.

Cela peut paraître étrange à première vue mais les scientifiques sont formels : ce qui se passe au niveau de nos intestins est directement lié à ce qui se passe dans notre cerveau.

L’influence de vos intestins sur votre santé est bien plus grande que vous ne l’imaginez

Peu de gens le savent mais nos intestins sont notre « deuxième cerveau ».

Récemment, les scientifiques ont découvert que nos intestins contiennent deux cents millions de neurones qui veillent à notre digestion et échangent des informations avec notre « tête » [3].

Ils commencent à peine à décrypter cette conversation secrète dont les mécanismes restent encore mystérieux.

On sait par exemple que notre cerveau entérique, celui qui se trouve dans nos intestins, produit 95% de la sérotonine, un neurotransmetteur qui participe à la gestion de nos émotions et que l’on appelle également « l’hormone du bonheur ».

Ces découvertes ouvrent également la voie à d’immenses espoirs thérapeutiques contre les maladies neurodégénératives, comme Parkinson ou Alzheimer.

Des études montrent que ces maladies commenceraient par s’attaquer aux neurones de notre intestin.

Pour prévenir voire guérir ces maladies neurologiques, il faudrait donc d’abord s’occuper de ce qui transite dans notre tube digestif.

C’est la thèse défendue par de nombreux chercheurs et par le célèbre Professeur Joyeux dans son dernier livre intitulé « Tout savoir pour éviter Alzheimer et Parkinson ».

Voilà pourquoi il est si important de protéger vos intestins contre la dysbiose.

La bonne nouvelle est que, malgré la complexité de cette maladie et ses conséquences sournoises, il existe des solutions pour vous défendre.

Mieux encore, le remède le plus simple contre la dysbiose est également le remède le plus efficace.

Je vais vous révéler 4 stratégies clés pour lutter contre la dysbiose et vous en prémunir. L’une de ces stratégies, la plus efficace, ne vous prendra pas plus de 10 secondes par jour.

Avant cela, permettez-moi de vous poser cette question étrange :

Mettriez-vous un pansement sur votre front pour soulager une migraine ?

Evidemment non car cela n’aurait aucun sens !

Pourtant, cette approche est recommandée pour traiter la dysbiose aujourd’hui.

Rappelez-vous, les premiers signes de la dysbiose apparaissent sous la forme de problèmes digestifs : ballonnements, maux de ventre, diarrhées…

Et que vous conseille-t-on alors ? On vous conseille de prendre des laxatifs, des antiacides ou des antispasmodiques.

Si vous souffrez d’insomnies, on vous conseillera de prendre des somnifères.

Pansement après pansement, on essaie de camoufler vos symptômes.

Le temps passe sans que rien ne soit fait pour traiter le problème à la racine. Rien n’est fait non plus pour débusquer et éradiquer ces dangereux parasites qui colonisent vos intestins et menacent votre santé.

Lorsque l’utilisation de ces « pansements » se révèle inefficace, on vous dit que c’est de votre faute et que vous devez maintenant changer votre alimentation !

Bien sûr, il est important de manger aussi sainement que possible. Toutefois, pour de nombreuses personnes, cela ne suffit pas toujours à enrayer le problème et à retrouver la santé.

Comme des millions de personnes, vous vous retrouvez dans l’impasse

Vous multipliez les efforts pour vivre sainement mais vous ne voyez aucune amélioration !

C’est un cercle vicieux et décourageant qui, au fil du temps, vous plombe le moral et vous pousserait presque à abandonner tout espoir de guérison.

Croyez-moi, je comprends ce désarroi et je ne voudrais pas que vous passiez à côté de ces informations capitales pour votre santé.

Car si vous souffrez de dysbiose sans le savoir, il y a encore de l’espoir et je peux vous faire cette promesse : il existe des moyens simples, naturels et scientifiquement prouvés pour y remédier !

Si vous voulez bien me laisser vous en dire plus, je vais vous dévoiler dans un instant les 4 stratégies clés pour venir à bout de la dysbiose.

Voici comment enrayer cette machine infernale

Lorsque vous aurez traité cette dysbiose intestinale, l’un des premières choses que vous remarquerez est qu’il est possible de perdre plus facilement du poids.

C’est logique car si vos intestins fonctionnent à nouveau normalement, vous digérez et vous éliminez plus facilement les graisses et les toxines.

Un autre avantage rapidement visible est que votre peau retrouvera de son éclat naturel. Vous aurez l’air plus jeune et en meilleure santé.

Vous verrez également qu’il vous est à nouveau possible de savourer certains aliments que vous n’osiez plus manger car ils vous causaient trop de problèmes au moment de la digestion.

Beaucoup plus important encore : vous ne le ressentirez pas immédiatement et pourtant, vos défenses naturelles retrouveront leur vigueur et pourront reconstruire votre forteresse intérieure contre les maladies.

Il est d’autant plus important que vous preniez conscience de toutes ces nouvelles possibilités car elles sont désormais à portée de votre main.

En effet, les études scientifiques les plus récentes montrent qu’il est possible de gagner la bataille contre la dysbiose.

4 stratégies contre la dysbiose : la quatrième est la plus simple et la plus efficace

Voici donc plusieurs choses que vous pouvez faire dès aujourd’hui. L’une d’elles ne vous prendra pas plus de 10 secondes.

Commencez par consommer davantage des aliments fermentés : dans le passé, les gens utilisaient les aliments fermentés comme le yaourt et la choucroute pour soutenir leur santé digestive. Ces aliments sont riches en bactéries naturellement bénéfiques pour vos intestins. Ils sont donc un excellent moyen de lutter contre la dysbiose et ses méfaits. Toutefois, pour être efficaces, ces aliments doivent être fermentés de manière traditionnelle et donc non-pasteurisés (la pasteurisation tue les probiotiques naturels).

Eliminez le sucre autant que possible car il favorise le développement de la dysbiose de fermentation basique. Cette dysbiose se caractérise par l’émergence d’un terrain propice aux levures, le candida albicans en particulier, ce qui entraîne beaucoup de gaz et de ballonnements.

Privilégiez les aliments issus de l’agriculture biologique : cela permettra de limiter la quantité de polluants chimiques qui transite par vos intestins ».

A suivre …….

Sincerement,

A. Merzoug

Oblivion X Medical


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LA RETINOPATHIE

Category : Médecine , Santé

Le diabète peut être responsable de plusieurs problèmes visuels lorsqu’il est mal contrôlé.

 » Le diabète et l’œil

 » L’œdème maculaire

 » L’examen visuel

Le diabète et l’œil

La meilleure façon de prévenir ou de ralentir les maladies de l’œil demeure un contrôle optimal de la glycémie.

Le diabète peut être responsable de plusieurs problèmes visuels. Lorsqu’il est mal contrôlé, il y a un excès de sucre dans le sang faisant épaissir et durcir les vaisseaux sanguins qui irriguent l’œil et qui ne peuvent plus accomplir leur travail adéquatement.

Les principales cibles du diabète au niveau de l’œil :

 » L’iris : situé sous la surface de l’œil. Il donne la couleur de l’œil.

 » Le cristallin : situé derrière l’iris. Il agit comme une lentille qui dirige et focalise la lumière sur la rétine.

 » Le corps vitreux ou le vitré : substance visqueuse transparente dans le globe oculaire. Il donne la forme ronde à l’œil et contribue à la circulation de l’oxygène.

 » La rétine : fine couche de cellules qui tapissent le globe oculaire. Elle perçoit les images, les couleurs, les formes et le mouvement;

 » Le nerf optique : situé à l’arrière de l’œil. Il transmet les images perçues par l’œil vers le cerveau.

Le diabète n’est pas la cause principale des cataractes ou du glaucome. On a cependant remarqué que ces maladies tendent à apparaître prématurément chez les personnes diabétiques.

Les complications les plus importantes concernent :

 » la rétine (rétinopathie)

 » le cristallin (cataractes)

 » l’iris (rubéose)

 » pression interne de l’œil (glaucome)

Quand consulter?

Un suivi régulier est important puisque la plupart des effets du diabète sur l’œil ne causent pas de symptômes avant qu’ils ne soient très avancés. La fréquence des examens de suivi devrait aller comme suit:

Premier examen Suivi

Diabétiques de type 1 À partir de l’âge de 15 ans ou 5 ans après. Le diagnostic Chaque année ou selon les recommandations du professionnel

Diabétiques de type 2 Au moment du diagnostic

Femmes diabétiques de type 1 ou 2 enceintes Avant la conception Lors des 3 premiers mois de la grossesse, puis au besoin durant la grossesse et dans

l’année qui suit .

Les signes à surveiller

En plus des examens annuels, vous devriez consulter un optométriste ou un ophtalmologiste si vous avez l’un des symptômes suivants :

 » Vue embrouillée qui varie d’une journée à l’autre

 » Yeux secs

 » Vision double, apparue de façon subite

 » Problèmes à percevoir les couleurs

 » Vision de nuit devenue rapidement plus difficile (conduite automobile)

 » Perte de la vision (très floue, comme à travers de la brume)

La prévention

La meilleure façon de prévenir ou de ralentir l’évolution des maladies de l’œil demeure, comme pour toutes les complications du diabète, un contrôle optimal de la glycémie.

Il s’avère également bénéfique de :

 » contrôler la tension artérielle

 » contrôler les taux de lipides (cholestérol) dans le sang

 » cesser de fumer

Sincèrement,

A. Merzoug

Oblivion X Medical


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