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LA NEPHROPATHIE

Category : Le diabète , Médecine , Santé

La néphropathie est une complication qui survient au niveau des reins qui touche jusqu’à 50% des personnes diabétiques au cours de leur vie. Le diabète est la première cause d’insuffisance rénale.

Le rôle des reins 

Les reins servent de système de filtration. Ils éliminent, via l’urine, les produits dont le corps n’a pas besoin ou qui sont excès dans le sang, tels que le sodium, le potassium, l’urée, l’albumine (sorte de protéine), le glucose et l’eau. Les reins sont d’une importance capitale pour notre santé.

Une personne diabétique dont les glycémies sont mal contrôlées oblige ses reins à travailler fort afin d’éliminer l’excès de sucre à travers l’urine. C’est pourquoi un contrôle optimal de la glycémie est essentiel.

Les principaux facteurs de risque :

 » Un diabète de longue date

 » Un mauvais contrôle de la glycémie

 » Une hypertension

 » Le sexe masculin (les hommes sont plus à risque)

 » L’obésité

 » Le tabagisme

L’évolution de la néphropathie diabétique, parfois lente, est souvent associée aux autres complications vasculaires du diabète, soit au niveau des yeux (rétine) et des jambes (membres inférieurs).

Symptômes 

Lors de la première phase de la maladie rénale, il n’y a souvent aucun symptôme. En phase avancée, la néphropathie diabétique peut occasionner des malaises reliés à l’insuffisance rénale, les plus fréquents étant :

 » fatigue

 » faiblesse

 » perte d’appétit ou de poids

 » enflure des paupières, des mains et des pieds

 » nausées, vomissements

 » démangeaison généralisée

Le dépistage 

Chez les adultes diabétiques de type 1, un dépistage doit être fait cinq ans après l’apparition du diabète, puis annuellement. Pour les personnes diabétiques de type 2, un test de dépistage doit être fait lors du diagnostic de diabète, puis chaque année ou selon les recommandations du médecin.

Pour vérifier la qualité du travail accompli par les reins, un test d’urine et de sang permet de détecter et de mesurer la présence d’une protéine nommée albumine.

Le traitement 

Les dommages causés aux reins par la néphropathie sont irréversibles. Selon le stade de la néphropathie, certaines personnes devront avoir recours à la dialyse pour se débarrasser des déchets. On peut ralentir ou arrêter l’évolution de l’atteinte des reins grâce à un contrôle rigoureux de la glycémie et de la tension. Cela nécessite parfois de prendre des médicaments.

Le médecin déterminera le traitement approprié, selon le type de diabète et les résultats des examens demandés. La thérapie comprend des recommandations alimentaires et la prescription d’une médication qui permet de contrôler la tension artérielle.

1 – Recommandations alimentaires : votre médecin pourra vous proposer de rencontrer une nutritionniste qui vous enseignera un régime contrôlé en protéines et, au besoin, en certains minéraux (calcium, phosphore, sodium, potassium). L’utilisation des protéines par l’organisme produit des  » déchets  » que les reins doivent éliminer. Limiter les protéines permet donc d’alléger le travail des reins endommagés.

2 – Médication : les médicaments que l’on utilise pour normaliser la tension artérielle peuvent aussi diminuer la pression du sang dans les reins et aider à préserver leur fonction.

Il arrive malheureusement que la maladie rénale diabétique continue de progresser malgré l’adoption de comportements appropriés. Lorsque la fonction rénale est de moins de 15 %, il faut envisager la dialyse pour remplacer la fonction rénale déficiente et nettoyer le sang.

Sincèrement,

A. Merzoug

Oblivion X Medical


AVEZ VOUS BESOIN DE VITAMINE D3?

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Category : Santé

By Jean-Marc Dupuis 

Cell’Innov Labs

« Les personnes de plus de 70 ans synthétisent 4 fois moins de vitamine D qu’une personne jeune, à exposition comparable, à cause du vieillissement de la peau. Une personne âgée sortant peu sera presque automatiquement carencée.

Pour moi, il s’agit d’un scandale de santé publique que les autorités restent silencieuses à ce sujet : en informant mieux la population, elles pourraient faire économiser des dizaines de milliards d’euros chaque année aux systèmes de santé, grâce à toutes les maladies qui seraient évitées.

Une vaste campagne d’information permettrait surtout d’épargner à des centaines de milliers de personnes des traitements lourds, coûteux, pénibles, quand ils ne sont pas mutilants, pour des maladies qui auraient pu facilement être prévenues grâce à des apports adéquats en vitamine D.

C’est pourquoi, à notre échelle, nous continuons notre grande campagne d’information sur la vitamine D :

J’appelle tous les lecteurs responsables de Néo-nutrition à se prendre en main, mais également à en parler à leur entourage en transférant largement ce message, et même à offrir partout autour d’eux de la vitamine D. C’est un cadeau original, pas cher, et franchement utile.

Voici un petit rappel des bienfaits de la vitamine D :

La vitamine D est bonne pour le moral

Quand vous vous promenez au soleil, sur la plage, à la montagne ou dans la campagne, sentez-vous cette joie qui vous réchauffe le cœur ? Vous pouvez dire merci au soleil, aux douces ondes du ciel bleu, et à votre taux de vitamine D qui remonte dans votre sang.

Car la vitamine D est rare dans l’alimentation. Votre principale source est la vitamine D que votre peau fabrique sous l’effet des rayons du soleil.

Vous bénéficiez d’un effet antidépresseur démontré par la science. Mieux encore, la fameuse « dépression saisonnière » qui saisit beaucoup de gens l’automne et l’hiver, serait liée au manque de vitamine D, tout simplement.

Les études avaient déjà montré que les personnes très déprimées avaient souvent un faible taux de vitamine D, mais on sait maintenant que c’est aussi le cas des petites déprimes.

Selon les chercheurs, celles-ci commencent typiquement huit semaines après les derniers pics d’exposition au soleil, soit au mois de novembre.

La vitamine D réduit les infections et les allergies

Plus de promenades au soleil, c’est moins de maladies infectieuses.

La tuberculose elle-même était autrefois soignée par des bains de soleil, d’où la création des fameux « sanatoriums » en montagne ou sur les bords de mer ensoleillés. On donnait aussi aux malades de l’huile de foie de morue, riche en vitamine D. Le traitement pouvait être efficace, mais les médecins ignoraient à l’époque que cela tenait, dans un cas comme dans l’autre, à la vitamine D.

Aujourd’hui, on constate un pic de rhume, grippe, gastro, au milieu de l’hiver, quand le niveau de vitamine D de la population descend au plus bas. Un lien entre les deux phénomènes a pu être établi.

Car la vitamine D joue un rôle crucial pour réguler le système immunitaire.

Et cela joue dans les deux sens :

D’une part, elle rend plus résistant contre les infections.

D’autre part, elle évite les réactions exagérées du système immunitaire, comme les allergies et les maladies auto-immunes. Ce sont des maladies où le corps s’attaque lui-même, et qui sont très difficiles à traiter car on ne peut les arrêter sans affaiblir les défenses naturelles de l’organisme.

Mais les études ont montré que si ces problèmes ont déjà éclaté, ils pouvaient être efficacement contenus grâce à un meilleur taux de vitamine D dans le sang. Cela inclut la polyarthrite rhumatoïde mais aussi la thyroïdite de Hashimoto, la sclérose en plaques, la maladie de Crohn et la rectocolite hémorragique, le syndrome de Goujerot-Sjögren, le lupus ou le psoriasis.

La vitamine qui donne les os solides

C’est le bienfait le plus connu de la vitamine D.

Chacun sait en effet que les enfants qui manquent de vitamine D deviennent rachitiques. Les adultes qui manquent de vitamine D souffrent (entre autres) de déformation des os, de manque de densité osseuse, favorisant les fractures et donc les handicaps.

Pour avoir des os solides cependant, la plupart des gens se contentent de prendre des minéraux, comme le calcium et le magnésium.

Le problème est que, lorsque vous prenez du calcium alors que vous manquez de vitamine D et de vitamine K, le calcium ne va pas se fixer sur vos os. Il se dépose dans vos vaisseaux sanguins qui calcifient, ce qui prédispose aux infarctus, et même dans vos yeux, qui développent alors la DMLA (dégénérescence maculaire liée à l’âge).

En revanche, avec la vitamine D et la vitamine K, non seulement le calcium va se fixer sur vos os, mais vous allez beaucoup mieux l’absorber au niveau de l’intestin.

La vitamine D bonne pour le cerveau (et contre l’Alzheimer)

En vieillissant, nos fonctions cognitives, c’est-à-dire notre mémoire, notre rapidité d’esprit, nos perceptions, déclinent naturellement. Cependant, les scientifiques ont découvert que l’apparition de démences est associée à un manque de vitamine D.

Les chiffres sont impressionnants : selon une étude de 2012, les personnes âgées qui ont peu de vitamine D dans le sang (moins de 25 nmol/L) ont quatre fois plus de risques de problèmes cognitifs que celles qui ont de bons niveaux (plus de 75 nmol/L).

Dans une autre étude, les chercheurs ont constaté que les personnes qui ont peu de vitamine D ont 69 % de risques supplémentaires de maladie d’Alzheimer que celles qui ont un niveau normal. Les personnes très carencées ont même une hausse de leur risque d’Alzheimer de 120 %.

La vitamine D bonne contre les AVC

Des études ont aussi montré qu’il existe un lien entre un faible taux de vitamine D et un risque élevé de gros accident vasculaire cérébral, rupture d’anévrisme, et AVC mortel.

La vitamine D aide à atteindre son poids optimal

Une étude publiée dans la revue scientifique American Journal of Clinical Nutrition a conclu qu’un taux adéquat de vitamine D peut aider les femmes en surpoids à perdre leurs kilos en trop.

Deux groupes de femmes ont reçu des compléments de vitamine D ou un placebo (fausse vitamine D). Après 12 mois, celles qui avaient pris les compléments de vitamine D avaient perdu en moyenne 9,5 kilos, contre 6 kilos pour les autres.

La vitamine D vous fait vivre plus longtemps

En un mot comme en cent, le manque de vitamine D est lié à une forte hausse du risque de décès, toutes causes confondues, y compris par crise cardiaque et par cancer.

A noter que la vitamine D3 est, expérimentalement, un inhibiteur puissant des tumeurs. Elle peut « ordonner » à des cellules cancéreuses de se comporter à nouveau comme des cellules saines. Elle favorise leur suicide cellulaire et freine leur prolifération.

Quelle quantité prendre ?

L’idéal est de déterminer précisément quel est votre taux de vitamine D, en vous faisant mesurer votre taux sérique (taux dans le sérum sanguin, le sérum étant le liquide de votre sang, dans lequel baignent vos globules).

Visez un taux de vitamine D supérieur à 50 ng/mL, c’est celui qui apparaît comme protecteur contre les maladies chroniques dans les études scientifiques.

Pour atteindre ce taux, un complément alimentaire quotidien de 4000 UI de vitamine D est nécessaire, plus si vous sortez rarement, si vous êtes sous traitement médical, en surpoids ou si vous êtes âgé.

Contrairement à ce qui est raconté un peu partout, il n’y a aucun danger à prendre de la vitamine D, jusqu’à 20 000 UI par jour sur le long terme : c’est ce que viennent de démontrer conjointement les chercheurs en santé publique de l’université d’Alberta (Canada) et de l’université d’Harvard (Etats-Unis).

Les rares cas d’intoxication répertoriés concernent des prises de 25 000 UI ou plus, sur de très longues périodes.

Sous quelle forme ?

Rien n’est plus facile à trouver que de la vitamine D.

Ma préférence va cependant à la vitamine D3 naturelle (la forme la plus proche de celle synthétisée au soleil par votre peau), qui se prend quotidiennement.

Les apports sont donc plus réguliers, et correspondent mieux aux apports naturels que les doses « flash » de 50 000 ou 100 000 UI (Uvédoses).

Il existe plusieurs formes de vitamine D3 disponibles dans le commerce bio et en pharmacie : en comprimés, en gélules softgels, ou sous forme huileuse et biologique – la plus pratique à mon avis :

Vous avez un petit flacon spécialement conçu pour être transportable sans risque de se casser, et que vous pouvez avoir en permanence dans le tiroir de votre bureau, votre sac-à-main, ou même votre poche.

Un seul flacon dure six mois, soit une saison entière de vitamine D (octobre à mars), pour une personne.

Il suffit d’en prendre quelques gouttes, directement sur la langue, à n’importe quel moment de la journée.

Il n’y a pas à casser d’ampoule, ni à avaler de comprimé ou de gélule indigeste ;

Vous n’absorbez pas d’additif douteux ou chimique en même temps que votre vitamine D.

Le laboratoire D.Plantes propose depuis longtemps de la vitamine D3 sous forme huileuse dosée à 400 UI par goutte.

Nouveau : Une innovation récente consiste à associer vitamine D3 et vitamine K2 (MK7).

Plusieurs études montrent en effet que prendre de la vitamine D3 en même temps que la vitamine K2 (MK7) est indispensable pour bien orienter le calcium dans vos os plutôt que dans vos artères.

Ainsi vous renforcez considérablement les effets de la vitamine D3 et du calcium sur la solidité de vos os et vous protégez votre cœur des risques de calcification artérielle qui peuvent causer de nombreuses maladies cardiovasculaires.

Au catalogue du laboratoire Cell’Innov, on trouve depuis peu une formulation associant vitamines D3 et K2 (MK7) sous une forme végétale huileuse et aux dosages recommandés par les études scientifiques : 5 gouttes quotidiennes vous apportent 2 000 UI de vitamine D3 et 45 microgrammes de vitamine K2 (MK7).

À votre santé !  »

Sincèrement, ,

A. Merzoug

Oblivion X


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